de mes petits élèves
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lundi 28 juin 2010
dimanche 27 juin 2010
La Joconde pour Mulot
Parce qu'on peut voir la Joconde au Portugal (Porto)....
...ou bien en Tunisie (C'était à Tataouine, je crois).
Beaucoup d'artistes ont joué avec Mona Lisa!
Ici Fernand Léger: La Joconde aux clés.
Si vous avez 30 secondes:
voici ce que je faisais avec mes élèves quand je travaillais en collège:
ARTS-SEGPA
Et si vous souhaitez participer aux summertime,
tous les derniers week-ends du mois,
chez MULOT
vendredi 25 juin 2010
O comme...
OUI j'ai été OUT
Un livre en parle avec délicatesse, réalisme et sincérité, un livre dont je souhaitais vous parler, un livre qui tente de partager avec nous ce qu'est la dépression. Ce livre en parle sans misérabilisme, sans l'écueil de la plainte, sans faux-semblants et sans noirceur, finalement. Car, si vous n'avez jamais connu cette "broyeuse de vie" qu'est la dépression, peut-être avez-vous près de vous une personne qui est touchée?
" On connaît, dans toute vie, des changements violents et cruels. La plupart du temps, on comprend ce qui vous arrive après seulement que ce soit arrivé. D'où ça vient, une dépression? Il y a quelque chose de mystérieux, d'inexplicable, comme un accident physique, chimique, un virus mortel qui s'abat sur vous sans avertissement, et puis il y a de façon plus claire toutes sortes d'explications possibles. Certaines remontent à des circonstances précises et présentes, et d'autres à bien plus loin que le passé immédiat." (p 158)
Tomber sept fois
Et se relever huit."
(Poème populaire japonais)
"Il faut savoir accueillir ta douleur,
car tu apprendras d'elle."
(Citation d'un poète latin, p224)
Philippe Labro nous dit quelle a été son expérience.
Sans honte.
Elle vaut pour lui mais elle parle de celle des autres,
ni tout à fait la même, ni tout à fait différente.
Tomber sept fois, se relever huit.
Un message de vie.
Chaque vendredi, une nouvelle lettre de l'alphabet.
C'est ici que ça se passe:
Mes petits rayons de soleil
jeudi 24 juin 2010
La main à l'école !
Leurs petites mains ont fait d'immenses progrès.
Je me suis librement inspirée de Zibouibouis
Patchwork des mains à l'école!!!
Avoir deux mains gauches
Avoir un poil dans la main
Mettre la main à la pâte
Donner un coup de main
Prêter main forte
En venir aux mains
Prendre en main
De main de maître
En un tour de main
Être entre de bonnes mains
Jeux de mains, jeux de vilains
Ne pas y aller de main morte
En mettre sa main au feu
Faire main basse sur...
Avoir le cœur sur la main
Une main de fer dans un gant de velours
Faire des pieds et des mains
mardi 22 juin 2010
C'est le pied!
Espace soins: soins du visage (anti-rides, points noirs...), du corps (gommage, enveloppement corporel, collagène, peeling, drainage lymphatique...), sauna.
Espace massages du monde: californien, pierres chaudes, balinais, chocolat, hydrojet, thaï, shiatsu, réflexologie plantaire...
Espace minceur et remise en forme: soins, massages, appareils amincissants, pressothérapie, powerplate...
Je ne connais pas les 90% de toutes ces choses...
Je suis zen.
dimanche 20 juin 2010
Gentil coquelicot
(Merci à mes deux petites élèves qui les ont apportés.)
Le coquelicot
Coquelicot.
Voici l'été, le temps me tarde
De voir l'arc-en-ciel refleurir.
L'orage fuit, il va mourir,
Nous irons te cueillir bientôt,
Coquelicot.
Robert Desnos
Gentil coquelicot
J’ai descendu dans mon jardin (bis)
Pour y cueillir du romarin
Gentil coquelicot Mesdames
Gentil coquelicot nouveau
Un rossignol vint sur ma main
Il me dit 3 mots en latin
Gentil coquelicot Mesdames
Gentil coquelicot nouveau
Que les hommes ne valent rien (bis)
Et les garçons encore bien moins
Gentil coquelicot Mesdames
Gentil coquelicot nouveau
Des dames il ne me dit rien (bis)
Des demoiselles beaucoup de bien
Gentil coquelicot Mesdames
Gentil coquelicot nouveau
Les hommes ne valent rien???
C'est drôle les comptines...
N'est-ce pas?
Enfantines participations aux dimanches poétiques:
Gentil coquelicot mesdames...
vendredi 18 juin 2010
N comme...
Besoin de prendre le temps.
Besoin de vacances.
Besoin de lire.
Besoin d'aller au bord de l'eau, nager.
NICOTINE
Sans commentaires...
NOCTURNE
Les soirées d'été éclairées à la bougie.
Les discussions tardives.
N comme Haine
(ou l'alphabet qui parle)
GT 13 NRV
Quelle NRJ!
L é AJT
Le célèbre: LHOOQ
Marcel Duchamp
Ceci est ma participation à la belle idée de Kaki.
Chaque vendredi, une nouvelle lettre de l'alphabet.
C'est ici que ça se passe:
Mes petits rayons de soleil
à 2M1
jeudi 17 juin 2010
Femmes...
FEMMES
J'ai reçu ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique de Babelio.
Ma lecture
Nous suivons le parcours singulier de Stefan au cours de ses différentes rencontres féminines: Renée, Marthe, Odette, Émilie, Maria, Arabella. Je ne dirais pas qu'il aime passionnément les femmes (comme l'indique la 4ème de couverture), je dirais qu'il a un rapport amoureux particulier, parfois déroutant, parfois distant. Oui, c'est cette distance qui m'apparaît en premier lieu, comme si certes il était amoureux mais toujours réservé, sur la retenue. Engagé mais distant... Étrangement!!! Même si avec Arabella, il abandonne ses prétentions professionnelles, elle sort de sa vie aussi simplement qu'elle y est entrée. L'écriture de l'auteur donne cette sensation de distance avec les personnages. Le qualificatif qui me vient est "froide", une écriture "froide", tranchante et précise, désenchantée! Comme si les débordements sentimentaux devaient absolument être contenus mais on les sent sous-jacents. Plus que les différentes rencontres féminines, c'est l'écriture qui m'a surprise!!!
Un autre récit est ajouté à la fin de l'ouvrage: Fragments d'un carnet retrouvé.
Extrait:
Il (Stefan) la découvre toute nue, couchée en travers sur le double lit conjugal, blême, les yeux brillant de fièvre. La lumière du soir, très faible à cause des lourds rideaux qui masquent les fenêtres, accentue sa pâleur et projette sur les oreillers de larges taches d'ombre.
- Tu es malade?
- Non, je t'aime.
- C'est bien beau, ma chère Renée, mais est-ce le moment de me le dire? Alors que ton mari s'inquiète et qu'il peut entrer à tout instant? Alors que tous les gens ont les yeux fixés sur tes fenêtres?
- Tu ne comprendras jamais rien. Touche-moi et vois comme je brûle. Embrasse-moi et vois comme je t'attendais. Mon mari... les gens... Toi, reste, toi.
Dans mon jardin...
Une barrière de bois brinquebalante dont il faut relever le crochet pour l'ouvrir, un escalier de pierres massives, irrégulières, un escalier étroit à descendre, quelques branches de laurier-sauce à ma droite pour m'accrocher et, au bas, enfin le jardin. Mes petites jambes d'enfant craignaient la chute jusqu'au jour où, grandies, elles prirent plus d'assurance.
Le groseillier aux fruits acides qu'on mange avec parcimonie.
Le bassin, profond, noir, trouble, peuplé de grenouilles s'échappant à notre approche alors que les têtards, moins farouches, se laissaient voir ou attraper à l'épuisette. Le bassin dans lequel il ne fallait pas tomber!!!
Le carré de pommes de terre (ou tartifles). Je découvrirai qu'il fallait gratter la terre. Quel étrange tubercule! Mon regard d'enfant surpris par cette plante cachotière. Plus tard, les cagettes pleines sommeillant à la cave, cachées du soleil.
Les plants de haricots, verts, dont on prenait soin de couper le fruit avec délicatesse, le dos courbé, les mollets irrités par le feuillage.
L'odeur de la tomate mûrie au soleil, cueillie, si délicieusement préparée par ma grand-mère.
Les framboisiers, nombreux, annonçaient que bientôt tant de pots seraient remplis de confiture ou de gelée.
Les cerisiers où j'aimais grimper munie d'un panier d'osier qu'on pendait à une branche au moyen d'un crochet en forme de S. Œuvrer tout en gourmandise. Œuvrer sans briser de branches car mon grand-père veillait!!! Œuvrer et remplir son panier de fruits rouges. Grimper encore plus haut, plus loin, s'amuser des branches plus fines, plus légères et s'écorcher un peu les jambes en redescendant.
Puis, à la fin de l'été, aller jusqu'à la vigne, piquer quelques grains de raisin. Bientôt les vendanges puis le vin.
Il n'est peut-être pas idéal mais c'est celui que j'ai aimé!!!!
- Hé, Loulou, c'est chouette le jardinage, hein? Qu'est-ce que ça détend!!!
- Qu'est-ce que tu fais là?
lundi 14 juin 2010
Le petit-déjeuner des blogs...
Vous publiez sur votre blog votre breakfast bien aimé, vous m'en informez et, à la fin, je ferai un billet récapitulatif de tous vos petits-déjeuners!!!
dimanche 13 juin 2010
Gay Pride: quinzième!
Marche des fiertés LGBT (Lesbiennes, Gays, Bis et Trans)
AMBIANCE
Il y avait entre 6 et 12 000 personnes
(vous savez selon la Police ou les organisateurs).
J'ai pris quelques photos...
Les chars partaient du Parc de la Tête d'Or
pour aller Place des Terreaux,
descendre la rue de Brest et enfin,
arriver Place Bellecour.
Lyon était en liesse!
Je vous emmène!
J'ai terminé le défilé Place Bellecour avec le discours des
Soeurs de la Perpétuelle Indulgence.
Je vous invite à découvrir
le site du Couvent de Paris ou l'article Wikipédia.
Les Sœurs du Couvent de Paris ont formé les vœux suivants :
- La promotion de la joie multiverselle
- L’expiation de la honte et de la culpabilité stigmatisante
- La paix et le dialogue entre communautés
- La charité
- L’information et la prévention du VIH et des IST
- Le droit et le devoir de mémoire
Pourquoi un sifflet ?
(Extrait du site lessoeurs.org)Vous êtes victime ou témoin d'une agression : essayer de venir en aide à la victime : muniE de votre sifflet, soufflez aussi fort que vous pouvez et par à coups. N'ayez pas peur de parler fort ou de crier si nécessaire pour attirer l'attention et faire fuir les agresseurs. N'hésitez pas à téléphoner à Police Secours (le 17). Vous pouvez également laisser vos coordonnées à la victime.
Soyons solidaires ! Et plus que jamais, soyez vigilants !
Comme nous, expliquez à vos amis et à vos proches, l'utilité de ce sifflet. Offrez-en à votre entourage. Ce sifflet doit devenir un réflexe commun de défense. S'il peut éviter bien des souffrances, utilisons-le ! Il peut être très saillant porté en pendentif avec un joli ruban rose bonbon ou bien plus discret, au fond d'une poche de blouson ou de pantalon…