Les écureuils, le lundi...

Il s'agit du 3ème volet de la "saga" écrite par Katherine Pancol.

Après "Les yeux jaunes des crocodiles" et "La valse lente des tortues", voici donc "Les écureuils de Central Park sont tristes le lundi". J'avais déjà lu les précédents même si chacun peut être lu indépendamment des autres. Le n°2 puis le n°1 et enfin le n°3. C'est probablement plus agréable dans l'ordre chronologique, mais on raccroche vite les wagons.

Ma lecture:

Après un petit temps de cafouillage pour retrouver chacun des personnages de l'histoire (il y a des rappels, évidemment), j'ai aimé suivre le parcours de chacun. J'avais, il est vrai, oublié l'essentiel des histoires précédentes mais on remet facilement les personnages en place et les clins d'œil au passé facilitent la tâche.

J'ai passé un bon moment de lecture de vacances même si j'ai sauté quelques passages et notamment tout le "cahier noir" (celui trouvé dans une poubelle). L'histoire dans l'histoire ne m'a pas captivée, du coup le survol rapide de ces quelques pages m'a permis de rester ancrée dans l'évolution des personnages. Parfois aussi, quelques lignes concernant Joséphine qui rêve... Des longueurs parfois. Le personnage d'Hortense est peut-être un peu trop caricatural.

Mais dans l'ensemble, je ne regrette pas les heures passées à cette lecture. Il y a de bons passages concernant les questionnements face aux étapes d'une vie: l'adolescence, les premiers amours, la vie de mère célibataire, le manque de confiance en l'amour, en la vie, etc... Du coup, on s'attache quand même aux personnages et on regrette presque une fin aussi "expéditive".

Je serai de toutes les façons partante pour lire le tome n°4 si l'auteur l'écrivait.

Hormis ces trois romans, je ne me souviens pas avoir lu d'autres ouvrages de cet auteur.

Et vous?

Katherine Pancol, vous lisez?

Par contre, j'ai rapidement stoppé la lecture du roman suivant. J'avais déjà lu deux recueils de nouvelles de cet auteur, Claire Castillon, mais là, les quelques pages parcourues m'ont rapidement démotivée. Pourtant, quelques unes de ses nouvelles (souvent incisives) me laissaient espérer autre chose.