Pages

lundi 31 mai 2010

Il était une fois...

une matriochka!

Personne dans ce monde étrange de la blogosphère n'imagine une matriochka prendre la poudre d'escampette. Se dépoussiérer, prendre ses aises, sauter dans un sac à dos, s'échapper, partir à l'aventure... Pourtant sur mon chemin, j'ai rencontré Dame Matriochka qui a bien voulu se laisser photographier. Quand je l'ai vue, elle était cachée derrière quelques feuillages, n'osant profiter pleinement du paysage.


Nous avons pris le temps de la discussion. Et d'une chose à l'autre, elle m'a avoué qu'elle rêvait d'une image d'elle , allongée sur les brindilles, presque divine, ses couleurs seraient intenses et resplendissantes. Je tentai de m'exécuter.


Voyant qu'elle aimait jouer les stars, timidement, je l'invitai et, sous les projecteurs, tout en lui expliquant mon projet, elle accepta de participer au concours de Zaza.


Nous terminâmes la rencontre autour d'un thé, scellant ainsi notre nouvelle amitié.


dimanche 30 mai 2010

Dimanche équin

Ce matin, en me levant, j'ai eu une belle preuve d'amour...

En attendant de vous montrer, un peu d'évasion me ferait du bien!


Dans le cadre du summer time.

Franz Marc, Cheval bleu


Cheval en Camargue

Si vous souhaitez participer aux Summertime,
c'est chaque fin de mois:



D'une chose à l'autre, cela m'a fait pensé à un poème
qui me touchait tant quand j'étais enfant!

Je peux, avec certitude je crois, dire que je l'ai apprise en CM1.


LE PETIT CHEVAL

Le p'tit ch'val dans le mauvais temps
Qu'il avait donc du courage!
C'était un petit cheval blanc
Tous derrière, tous derrière
C'était un petit cheval blanc
Tous derrière et lui devant!

Il n'y avait jamais d' beau temps
Dans ce pauvre paysage!
Il n'y avait jamais d' printemps
Ni derrière, ni derrière,
Il n'y avait jamais d' printemps
Ni derrière ni devant!

Mais toujours il était content
Menant les gars du village
A travers la pluie noire des champs
Tous derrière, tous derrière
A travers la pluie noire des champs
Tous derrière et lui devant!

Sa voiture allait poursuivant
Sa bell' petit' queue sauvage
C'est alors qu'il était content
Tous derrière, tous derrière
C'est alors qu'il était content
Tous derrière et lui devant!

Mais un jour dans le mauvais temps,
Un jour qu'il était sage
Il est mort par un éclair blanc
Tous derrière, tous derrière
Il est mort par un éclair blanc
Tous derrière et lui devant!

Il est mort sans voir le beau temps
Qu'il avait donc du courage!
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni derrière
Il est mort sans voir le printemps
Ni derrière, ni devant!

PAUL FORT


Ainsi, le petit cheval participe-t-il aux dimanches poétiques:



Et puis, comme Brassens l'a mis en musique...




BONNE FÊTE AUX MAMANS

(et à ce propos, si vous pouviez faire une p'tite photo)


Bon dimanche à toutes et à tous...

samedi 29 mai 2010

Madre mia!!!!!

Oui, oui, je sais, j'ai un jour d'avance...

Ahhhh, les petites mamans des chérubins attendent avec impatience le petit cadeau préparé à l'école... Pâte à sel, dessin, poème... La toute nouvelle instit de maternelle que je suis n'était pas si pressée d'y penser! (J'ai même rouvert ma boîte perso, ma boîte de maman gâtée par mes enfants pour voir ce qu'ils avaient réalisé!)

C'est INCONTOURNABLE!

Je ne vous dis pas la révolution si on ne se plie pas à la règle!!!

Quand mes enfants étaient petits, une des instits faisait un cadeau des parents. Ainsi, d'une pierre, deux coups... Je trouvais l'idée sympathique mais... comment fait l'enfant en cas de parents séparés??? C'est dur de choisir l'un des parents... A coup sûr, c'est la maman qui se le récupérait! Et un enfant n'a pas à choisir!

Cependant cela éveille en moi deux interrogations dont je souhaite vous faire part:

- Conditionner dès l'enfance à ce rituel immuable n'est-ce pas entrer dans des contraintes dont on ne peut pas se défaire? N'est-ce pas faire le lit de conditionnements commerciaux futurs? Je vais probablement un peu loin mais n'est-ce pas le cas pour la fête des grands-mères, de la Saint Valentin? Parallèlement, c'est aussi l'occasion d'apprendre à offrir... Ce qui n'est pas un mal. Offrir c'est une preuve d'amour!

- Et puis... Tous les enfants n'ont pas des parents qui "méritent" un cadeau! Parfois l'enfant vit des situations si injustes, si violentes... N'est-ce pas une violence de plus que d'obliger au cadeau? Pour autant, on ne va pas empêcher les autres enfants de fêter leurs parents!

Je n'ai pas de réponse à ces questions!


Mais passons aux choses "sérieuses"...


FABRICATION DE LA BOITE

La boîte cartonnée est préalablement peinte en blanc par l'enfant.

Des papiers décopatch ont été découpés en petits carrés.

L'enfant doit les coller sur la boîte et son couvercle.



RÉSULTAT

Plein de boîtes de toutes les couleurs!



LE PETIT MOT D'AMOUR

A l'intérieur, on place un petit mot tout enroulé avec un fil noué.

Et pour terminer,
un portrait de l'enfant est glissé dans la pochette cadeau,

un portrait que j'ai pris en classe.

Voilà, j'espère que ça plaira aux mamans!!!


Puis là, j'ai une envie subite de vous faire écouter un petit bout de musique...

C'est pour les mamans dont les enfants grandissent!




Bon week-end!!!


POUR VOIR TOUT LE TRAVAIL DE LA CLASSE,



jeudi 27 mai 2010

L'après-midi bleu

Un livre dernièrement acheté dans un vide-grenier...

L'après-midi bleu
William Boyd




Quatrième de couverture:
Où et quand commence l'affaire Carristant? A Manille, en 1902, le matin où un brillant chirurgien anglo-philippin sortant d'un bois, après une nuit passée près d'un bordel de Sampaloc, jette les yeux sur une belle tireuse à l'arc, laquelle lui décoche une flèche quasi fatale? Ou bien en 1936, dans un Los Angeles déjà tourné vers Hollywood, où la jeune et dynamique Kay Fisher, à l'orée d'une glorieuse carrière d'architecte, mais en mal d'amour et de tendresse, se fait aborder par un vieil homme bizarre et séduisant qui lui affirme: "Je suis ton père"? Ou encore à Lisbonne, là où les héros de cette étonnante saga sont enfin réunis pour une heure qui servira de leçon d'éternité à Kay? En fait, l'affaire Carristant tient de la légende: elle n'a ni commencement ni fin, elle est intemporelle, insaisissable, vouée à l'énigme et parfois à l'indéchiffrable. On l'aura compris: il s'agit d'une très belle histoire d'amour et d'un très grand roman de William Boyd.


Mes sensations:

D'emblée: maintenant que je l'ai lu... Cette quatrième de couverture est passablement pompeuse. Il y a abus quand sont posés les mots: légende, étonnante saga, etc... De grands mots pour une histoire pas si faramineuse!!!

Du déplaisir et même du malaise à la lecture des passages de chirurgie. Les opérations à cœur ouvert, les expériences du Dr Cruz ne sont pas vraiment des moments palpitants de lecture pour mon "petit cœur sensible". Bon, ce n'est pas ça qui me fait le plus vibrer dans mes lectures!

Du plaisir par contre quand Salvador Carristant évoque le désir qu'il a de Delphine, quand leur première vraie rencontre amoureuse est décrite. Oui, William Boyd a un vrai talent pour parler du désir, à moins que je ne sois qu'une guimauve dès que ça palpite de ce côté-ci!!!

De l'impatience quand Boyd nous entraîne de droite à gauche, de ci de là sans qu'on comprenne le sens ou l'intérêt... Mais bon, j'avoue, j'ai sauté quelques lignes qui m'ennuyaient!

Au final, j'estime que toute la première partie aurait pu être écourtée au regard de l'histoire amoureuse de la seconde. Je ne peux pas dire qu'il me déplaise vraiment au point de le déconseiller mais il ne me touche pas suffisamment pour le conseiller!

Boyd a également écrit:
- Un anglais sous les tropiques
- Brazzaville plage.


Vous appréciez cet auteur?
Le connaissez-vous?


mercredi 26 mai 2010

Les amphores

Dernier hammam de la saison...

Comme à chaque fois, nous partons à la découverte d'un nouveau lieu. Cette fois-ci nous "testons" le hammam LES AMPHORES à BRON. Nous avons eu la bonne idée d'y aller un samedi ensoleillé. Du coup, le hammam est déserté, tout le monde est parti se faire dorer la pilule ou bien faire du lèche-vitrine en ville. Et je remercie bien fort les absentes qui nous ont permis de profiter du lieu en toute intimité! Comme à l'habitude, Elo n'a pas de gant et doit s'en acheter un (qu'elle oubliera évidemment!!!)! Comme à l'habitude, nous n'avons pas de savon noir (mais celui-ci est proposé à la vente).

L'accueil est fort agréable et souriant.


(Je suis désolée pour la piètre qualité des images!!!)

Nous nous installons dans le hammam après déshabillage dans la salle d'accueil qui fait également office de salle de repos. (Zut, on a encore oublié nos tongs!)

Je regrette quand même qu'il n'y ait pas davantage cette bonne odeur d'eucalyptus... Mais bon... On papote, on se raconte nos dernières news toutes très intéressantes tout en s'aspergeant d'eau tiède. On passe ensuite dans le sauna qui, pfffff, est sacrément chaud, chaud, chaud!!! A moins que ce soit moi qui supporte de moins en moins. On retourne dans le hammam pour s'enduire de savon noir. La peau est prête à être frotter, c'est le moment tant attendu du gommage (ou décrassage en profondeur!) On s'allonge sur la table et hop! ça frotte, ça frotte. On fait peau neuve...


Après cela, une douche s'impose!

Il ne nous reste plus qu'à nous sécher, habiller et savourer un thé à la menthe tout en discutant.


Verdict

Nous avons aimé l'ambiance et l'accueil. Après discussion, il semblerait que le hammam soit beaucoup plus fréquenté le dimanche! Tant mieux pour nous. Peut-être que le peu de monde nous l'a fait apprécié davantage??? Je dirais qu'il s'agit d'un hammam "modeste" sans tape à l'œil et sans chichis. Il est à parier qu'il est fréquenté par des "habituées"... D'ailleurs des petits signes le montrent. Rien à voir avec Les bains de l'opéra qui est plus orienté pour "occidentales". Certaines préfèreront peut-être plus d'esthétisme dans la décoration? Plus de "standing"? D'autres aimeraient probablement que l'espace d'accueil (l'entrée du hammam) soit dissocié de l'espace de repos... Mais, nous, nous l'avons apprécié.

Au niveau tarifs:

Hammam: 12 euros
Gommage: 5 euros
Savon noir: 1 euro
Prise (pour brancher le séchoir): 3 euros.

(Je précise que les frais de prises m'ont été offerts. Oui, bon, je trouve que c'est un peu cher payé pour brancher son propre séchoir et se sécher vite fait les cheveux.)

Et si vous souhaitez connaître l'adresse et les horaires:

LES AMPHORES

Voilà ma peau est toute prête pour accueillir les rayons du soleil!




mardi 25 mai 2010

L'enfant et le photographe

L'image de l'enfance au travers de la photographie...

On aime à s'extasier devant de magnifiques images qui symboliseraient l'innocence, la fragilité et la tendresse liées à cette période de la vie. Nous savons tous qu'il n'en est rien. L'enfance n'est pas ça, n'est pas uniquement ça!


Les enfants dans un pays en guerre



Reza et les portraits d'enfants afghans.


Les enfants joueurs

Willy Ronis, Vincent aéromodéliste, 1952


Doisneau, Les frères


L'enfant et l'animal

Dieuzaide, la petite fille au lapin


L'enfance joyeuse

Willy Ronis, Paris 1952


L'image toute en poésie

Sabine Weiss, Petite fille petit arbre, Espagne 1981


L'enfance c'est également la violence, la déchirure, l'horreur, l'injustice, la maltraitance... Et la photographie est également là pour en témoigner! Des images qui heurtent peut-être votre vision, votre idée de l'enfance, oui. Mais l'idéalisation de cette période de la vie n'est pas dans mes habitudes... Je choisis des photographies suffisamment "loin" de nous (bien que universellement connues) cependant, tout près de nous, l'enfant n'est pas non plus cet être dorloté et choyé qu'on pense!!!


La petite fille de 9 ans, brûlée au napalm durant la guerre du Vietnam.

Nick Ut


L'enfant du ghetto de Varsovie


Enfin, je terminerai par ces images d'Elinor Carucci (que vous avez déjà vues si vous me suivez) qui ont suscité divers commentaires précédemment et notamment la question de l'inceste. De mon point de vue, elles peuvent être certes dérangeantes car elles touchent à l'intimité des corps, à la nudité telle qu'elle est vécue dans une famille mais je n'y vois pas d'allusion sexuelle. En tous les cas, elles questionnent à l'évidence notre rapport au corps., la question demeure ouverte... Concernant l'image de l'enfant dans la photographie, les images de David Hamilton sont beaucoup plus ambiguës que celles-ci. Et pourtant ce photographe fut, à une période, admiré!!!



Voilà Angélita ma participation en images au mot du mois.

En espérant ne pas avoir "trop" perturbé l'image idyllique de l'enfance!


dimanche 23 mai 2010

Mojito!


Mojito, hier, pour l'apéro.

Ce qui m'a incitée à aller chercher vers la poésie cubaine.

Une poésie "engagée" aujourd'hui!


LE DISCOURS DE LA MÉTHODE

Si une fois terminé le bombardement,

alors que tu marches dans l'herbe qui a autant de chance

de pousser parmi les ruines

que sur la mitre de ton Évêque,

tu es capable d'imaginer que tu ne vois pas

ce qui va immanquablement se dérouler devant tes yeux,

ou que tu n'entends pas

ce que pourtant il te faudra entendre longtemps encore;

ou (ce qui est plus grave)

si tu penses que l'astuce ou le bons sens te suffiront

pour éviter qu'un jour, rentrant chez toi,

tu ne trouves plus qu'un fauteuil brisé parmi un tas de livres déchirés,

je te conseille de courir sans demander ton reste,

d'aller chercher un passeport,

un mot de passe,

ou d'invoquer un fils infirme, n'importe quoi

qui puisse te justifier auprès d'une police pour l'heure malhabile

(car elle est constituée de paysans et de manœuvres)

et de prendre le large à tout jamais.

Fuis par l'escalier du jardin

(surtout sans être vu).

N'emporte rien.

Il ne te servira à rien d'avoir un manteau, des gants, un nom de famille,

ou même un lingot d'or, un vague titre.

Ne perds pas de temps

à sceller tes bijoux dans la cache d'un mur

(ils le découvriront de tout façon).

Ne cherche pas à mettre tes papiers à l'abri dans la cave

(les miliciens sauront plus tard les retrouver).

Méfie-toi de ta domestique la plus dévouée.

Ne remets pas tes clefs à ton chauffeur, ne confie pas

ta chienne au jardinier.

Ne te berce pas d'illusions en écoutant sur ondes courtes

les nouvelles.

Arrête-toi devant la glace la plus haute de ton salon,

tranquillement,

et contemple ta vie,

regarde-toi tel que tu es,

tu n'en auras plus l'occasion.

Déjà ils enlèvent les barricades dans les parcs.

Déjà ceux qui ont pris d'assaut le pouvoir montent à la tribune.

Déjà le chien, le jardinier, le chauffeur et ta bonne

sont là-bas en train d'applaudir.

(Hors-jeu 1968)

Heberto Padilla (poète d'origine cubaine).



Ceci est ma participation aux dimanches poétiques chez Celsmoon.

Tchin tchin!

Bonne soirée!

vendredi 21 mai 2010

J comme jaune d'or

C'est la saison du bouton d'or.
Ces boutons d'or que j'adore depuis toujours!


A l'école, les enfants m'en offrent pendant la récréation.

Les fleurs fanent et j'ai alors comme un regret...
Ce jaune lumineux, profond, merveilleux qui s'efface sans laisser de traces.


De toutes ces fleurs jaune d'or cueillies pendant la récrée,
nous avons fait un tableau végétal et éphémère.


Du coup je rêve d'une cour de récrée immense, fleurie et arborée!!!




BELLE JOURNEE!

POUR VOIR TOUT LE TRAVAIL DE LA CLASSE,





mercredi 19 mai 2010

Mon petit bleu part en voyage...


Bleu londonien





Bleu corse


Bleu égyptien



Bleu portugais



Bleu espagnol


Bleu marocain


Et pour voir le monde en bleu, c'est chez Virginie B!

Rendez-vous sur Hellocoton !

mardi 18 mai 2010

Chat malicieux

Ce regard...



Nous avons un chat malicieux qu'on appelle
Réglisse (
rarement) et minou (constamment).

Il aime à se glisser sur nos genoux et réclamer son dû
de câlins et douces attentions.



Chat équilibriste.


Chat salissant.
(Ou le bonheur du chat blanc)


Le chat de la maison pour Pödane!

Un petit chat, un petit chat, un petit chat, chat, chat;
Chapeau de paille, chapeau de paille, chapeau de paille, paille, paille;
Paillasson, paillasson, paillasson, son, son, son...

Bonne soirée!!!

Vive le camping !

La clé pour un camping réussi avec des enfants:

l'organisation!


Préparer une liste: tente, duvets, matelas (type carimat pour le gain de place!), glacière, fil d'étendage, pince à linge, vaisselle en plastique, casserole, passoire, réchaud, table pliable, grand tissu à étendre au sol, jeux, crème solaire, médicaments, alimentation, etc... J'ai établi au fil des années une liste très détaillée!!!

Et bien sûr, le parasol.
INCONTOURNABLE


Quand tout est prêt, fourrer tout ça dans la voiture.


Installer son petit coin. Personnaliser l'emplacement en étendant immédiatement les serviettes de plage. Accrocher la poubelle à un piquet afin d'éviter tout risque de déversement en cas de petite brise. Prévoir un torchon qui servira d'égouttoir après la corvée vaisselle. Faire chauffer l'eau du thé et savourer qu'enfin, on est installé! Un palace s'offre à votre regard...


Un réchaud, c'est petit mais ça peut supporter beaucoup!


Alterner sandwichs, chips, pâtes, salades,
sandwichs, chips, salades, pâtes...
Et un resto!


Ouvrir le parasol en cas de bruine légère ou soleil accablant.
Et prendre son petit-déjeuner en toute intimité!
Les passants peuvent ainsi à loisir constater la sale tête que vous avez au réveil.


Activité "cartes postales" au cas où la famille aurait besoin de vos nouvelles!
Et les amis d'un petit coucou!


L'incontournable soirée UNO!
A moins que cela soit une solution de repli en cas de pluie!


Au camping, j'ai adoré la liberté de se poser pile où le chemin nous menait. Ce fut le cas quand nous sommes partis en Corse. Nous avons visité toute l'île au gré de nos envies. Et sans me tromper, c'est l'un des plus beaux souvenirs de vacances de mes enfants. De la même façon, j'y était allée en moto, hormis la galère du sac au dos, ce fut magnifique. J'aime également la sensation de liberté que ressentent les enfants et le partage des tâches qui s'instaure. Et puis, c'est quand même une option de vacances qui, économiquement, permet de s'échapper de sa casa sans atteindre des sommes astronomiques!

Au camping, je n'aime pas: le mal au dos (sans matelas gonflable), l'organisation préalable (car avec les enfants un minimum s'impose), les douches quand il n'y a plus d'eau chaude, les gens qui ne nettoient pas leur évier quand tu vas faire la vaisselle, la chaleur sous la tente quand on veut faire la sieste en pleine après-midi...


Bon, je vous avoue que maintenant je suis BEAUCOUP moins motivée!



Voilà Virginie ma participation à Photos de vacances.



Et vous?

Camping? Pas camping?

Des souvenirs?


Rendez-vous sur Hellocoton !