Premier départ...

Premières séparations...

Les vacances scolaires sont bientôt là et c'est la période des colonies, des premières séparations, des premières tentatives... A la fois, de l'envie et de la crainte de la part de l'enfant (et peut-être aussi des parents). D'autant plus quand il est très jeune. Alors parfois, lire une histoire offre un support, pas forcément pour parler directement de cette séparation mais un support pour l'enfant et ses craintes.

Nahotchan a très envie d'aller camper avec les grands!

Il lui faut porter ses affaires comme une grande.

Parfois arrivent de petits malheurs.

Et de petits plaisirs.

Le soir, on fait un grand feu.

Quand, la nuit venue, on sort pour aller faire pipi...

Mais le lendemain, au réveil...

On se sent être grande!

Plein d'autres belles images à découvrir dans cet album!


Et si vous souhaitez découvrir d'autres albums, cliquez:

Et de 11! Je suis inscrite au challenge "24 albums".

M comme Merci

J'ai commencé ce blog sans m'imaginer les relations qui pouvaient s'y tisser.

Certes, nous ne nous voyons pas vraiment,
certes, cela se passe au travers de mots, des commentaires, d'images,
mais il y a un attachement qui s'installe et qui s'instaure.

Je découvre régulièrement de nouveaux blogs qui m'enchantent chacun différemment.
De la sincérité (du moins je pense);
de l'originalité (des idées surprenantes);
de la simplicité aussi ( sans emphase);
de la création, de la photographie, des textes, des idées...

Alors UN IMMENSE MERCI à vous tous!

Et puis entre autres...

Merci à Voyelle


Merci à Diane


Merci à The Parisienne



Ceci est ma participation à la belle idée de Kaki.

Chaque vendredi, une nouvelle lettre de l'alphabet.

C'est ici que ça se passe:

Mes petits rayons de soleil


Bloguer...

C'est un moment de partage,
chronophage!!!

C'est aussi un jeu et un plaisir.

Belle journée à vous

Bliss...

Petit bonheur

Prendre mon vélo. Ramasser des galets pour un travail à l'école.
Croiser sur mon chemin un champ de marguerites. Faire un bouquet.


Grand bonheur

Me réveiller un certain dimanche matin.
Me lever alors que tout est silencieux.
Entrer dans la cuisine. Et découvrir.


Le bonheur d'être maman.


Et puis, à son retour du marché, elle m'offrira.


Voilà un bout de bonheur pour Corner View.

Juliet, Naked (1 exemplaire pour vous)

C'est mon premier Nick Hornby et j'ai plaisir à vous le présenter.

Quatrième de couverture:

A Gooleness, petite station balnéaire surannée du nord de l'Angleterre, Annie, la quarantaine sonnante, se demande ce qu'elle a fait des quinze dernières années de sa vie...
En couple avec Duncan, dont la passion obsessionnelle pour Tucker Crowe, un ex-chanteur des eighties, commence sérieusement à l'agacer, elle s'apprête à faire sa révolution. Un pèlerinage de trop sur les traces de l'idole et surtout la sortie inattendue d'un nouvel album,Juliet, Naked, mettent le feu aux poudres. Mais se réveiller en colère après quinze ans de somnambulisme n'est pas de tout repos!
Annie est loin de ses douter que sa vie, plus que jamais, est liée à celle de Crowe qui, de sa retraite américaine, regarde sa vie à vau-l'eau...
Reste plus qu'à gérer la crise avec humour et plus si affinités...


Ma lecture:

Il y a Tucker Crowe qui a, un jour, connu son heure de gloire, a multiplié les aventures et les enfants pour, un soir, disparaître. Où? Pourquoi? Comment?
Il y a Duncan. Il a une passion inconditionnelle pour Tucker Crowe. Duncan fait partie des quelques fans de la "star" déchue. C'est un "crowologue" averti qui participe assidument et farouchement au site internet dédié à l'idole ainsi qu'à son forum.
Puis il y a Annie, compagne de Duncan qui se lasse. Elle va écrire un billet qui sera publié sur le site. Et là....

J'ai aimé la description précise des affres de l'idolâtrie, de ses excès, de ses travers. Chaque personnage est brossé sans concession. Les accommodements que chacun fait avec lui-même sont parfois pathétiques (mais tellement humains), amusants (voire ironiques) et Hornby nous entraîne dans leurs retranchements. Il y a un brin de désespérance chez chacun d'eux mais ce n'est pas noir, non. C'est plein d'humour et d'amour pour les personnages, c'est "chacun fait comme il peut avec ce qu'il est ou ce qu'il vit".

J'ajouterais que vous pouvez écouter sur Deezer
une playlist établie par l'auteur en cliquant ICI.

Je remercie également Charlotte qui m'offre la possibilité de vous faire gagner un exemplaire de cet ouvrage.

Je vous propose donc de me dire en commentaire:

1/ Avez-vous déjà lu cet auteur?
2/ Si oui, avez-vous apprécié?
3/ Auriez-vous un autre titre à me conseiller?
4/ Souhaitez-vous lire et gagner ce livre?

Je vous laisse 4 jours (samedi soir minuit) pour ce faire puis je tirerai au sort un gagnant parmi les commentaires motivés par cette lecture. La seule contrainte étant que vous habitiez la France, la Belgique ou la Suisse.

Des anges ou des petits monstres?

A l'image de ce qui est affiché sur leur tee-shirt...

A-t-on des anges ou des petits monstres?


Un patchwork des tee-shirts rigolos de mes petits loupiots...
Ni tout à fait des anges, ni complètement des petits monstres!

Il y a de tout pour faire une classe.

Il y a des joyeux, des timides, des chahuteurs, des bagarreurs, des colériques, des boudeurs, des amoureux, des tristes, des taquins, des coquins, des malins, des discrets, des tendres, des pleurnichards, des morveux, des pouilleux, des souriants, des énervés, des mollassons, des agaçants, des apeurés, des bavards, des rêveurs, des originaux...

Et il y a toujours de l'attention pour chacun.

Les tee-shirts rigolos pour fêter le mois de juin chez Alice.


Et autour de vous...

Des petits anges ou des petits monstres?

Rêve pour l'hiver

Je sais, je sais, nous sortons à peine du froid que je vous parle d'hiver.

Mais laissez-vous donc charmer par la lecture de ce texte!

Van Gogh, Wagons de chemin de fer, Août 1888


Rêve pour l'hiver

L'hiver, nous irons dans un petit wagon rose
Avec des coussins bleus.
Nous serons bien. Un nid de baisers fous repose
Dans chaque coin moelleux.

Tu fermeras l'œil, pour ne point voir, par la glace,
Grimacer les ombres des soirs,
Ces monstruosités hargneuses, populace
De démons noirs et de loups noirs.

Puis tu te sentiras la joue égratignée...
Un petit baiser, comme une folle araignée,
Te courra par le cou...

Et tu me diras: "Cherche!" en inclinant la tête,
Et nous prendrons du temps à trouver cette bête
Qui voyage beaucoup...

Arthur Rimbaud
(7 octobre 1870)


Alors?
Toujours froid?

Vous pouvez, vous aussi, participer aux dimanches poétiques:

The Fountain

Connaissez-vous Darren Aronofsky?

C'est un réalisateur américain, il est né en 1969, il a une petit liste de films à son actif.

1998: Pi (je n'ai pas le caractère mathématique)
2000: Requiem for un dream
2006: The Fountain
2008: The Wrestler

The Fountain peut paraître un film un peu déroutant mais, si l'on se laisse emporter par les images, par l'ambiance, par la quête, c'est un beau voyage. C'est l'histoire d'un homme qui veut sauver sa femme de la mort (en 3 espaces, 3 temps, 3 récits). Voici la bande-annonce:

Je réponds ainsi à Virginie B qui souhaitait qu'on lui montre un objet inspiré par un film.

Quoi de mieux que cette petite statuette pour The Fountain?

(Car, oui, je veux bien aller au ciné, à Lyon.)

Alors dansons...

J'ai dans ma classe deux petites filles qui remuent sacrément bien le popotin!!! Parfois, hop, elles se mettent à danser, je regarde d'un air amusé puis, bon, je leur explique qu'elles pourront s'éclater dans la cour! Il y a comme un truc à l'intérieur qui leur donne le rythme et la justesse.


Ce n'est pas rien de bouger son corps! Je me souviens de mon année de danse afro! Bon ben, j'avais comme les jambes qui s'emmêlent, qui ne vont pas où il faudrait (malgré ma bonne volonté). Il y avait des pas à respecter, pour certaines, c'était comme inné, pour d'autres beaucoup plus laborieux. La prof nous répétait que nous, "occidentales" nous devions nous libérer de notre corps. Oui, bon, ce n'est pas tout de le dire...

J'ai pu également le constater les rares fois où j'ai tenté le step! Mon attention portée au nombre de pas, devant, à droite, on revient sur le step... Et hop... C'est fichu. Par contre, quand il y a la LIBERTÉ de mouvement, de pas, de rythme, de déplacement... Là, je ne me sens plus du tout "gourdasse". La musique me traverse, me libère, me bouge sans problème. Ce sont les contraintes, les règles qui m'emprisonnent.

Et pourtant, étrangement, quel bonheur cela doit être de danser en maîtrisant les règles, les pas, les déplacements comme si on s'en libérait, finalement!

La liberté est aussi liée aux règles que l'on s'impose.
Pour danser, je ne m'en impose aucune.

Par contre, je suis admirative de celles et ceux qui s'y frottent avec constance! J'aime voir un spectacle de danse, j'aime cette alchimie qui lie un groupe, j'aime être spectatrice!

Ai-je ainsi répondu à ta question Libelul?

Et vous?

Quel est votre profil de danseuse? Ou de danseur?

Dancefloor du samedi soir?
Cours niveau débutant ou confirmé?
Danseur sous la douche?
Ou danseur spectateur?
A vous trémousser dès le 1er tempo?

(Les photos ont été prises au spectacle de danse de ma fille.)

L comme...

L comme Land Art


La nature nous offre des matériaux.

Avec les enfants, faisons le reste.

Et quelques photos...






Je découvre avec eux!

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