vendredi 30 septembre 2011

Shrek se la joue disco...



Vous ne le connaissiez peut-être pas ainsi.... 
le petit bonhomme vert!



Fan de disco.




Voilà des lumières qui changent un ogre!



Petits délires photos pour le Clic Clac chez Cricri
et l'instant T chez Nikit@.


Bonne journée à vous!!!!




jeudi 29 septembre 2011

Les heures souterraines


DELPHINE DE VIGAN
Les heures souterraines


Quatrième de couverture:

Chaque jour, Mathilde prend la ligne 9, puis la ligne 1, puis le RER d'jusqu'au Vert-de-Maisons. Chaque jour, elle effectue les mêmes gestes, emprunte les mêmes couloirs de correspondance, monte dans les mêmes trains. Chaque jour, elle pointe, à la même heure, dans une entreprise où on ne l'attend plus. Car depuis quelques mois, sans que rien n'ait été dit, sans raison objective, Mathilde n'a plus rien à faire. Alors, elle laisse couler les heures. Ces heures dont elle ne parle pas, qu'elle cache à ses amis, à sa famille, ces heures dont elle a honte.

Thibault travaille pour les Urgences Médicales de Paris. Chaque jour, il monte dans sa 
voiture, se rend aux adresses que le standard lui indique. Dans cette ville qui ne lui épargne rien, il est coincé dans un embouteillage, attend derrière un camion, cherche une place. Ici ou là, chaque jour, des gens l'attendent qui parfois ne verront que lui. Thibault connaît mieux que quiconque les petites maladies et les grands désastres, la vitesse de la ville et l'immense solitude qu'elle abrite.

Mathilde et Thibault ne se connaissent pas. Ils ne sont que deux silhouettes parmi des millions. Deux silhouettes qui pourraient se rencontrer, se percuter, ou seulement se croiser. Un jour de mai. Autour d'eux, la ville se 
presse, se tend, jamais ne s'arrête. Autour d'eux s'agite un monde privé de douceur.

Les heures souterraines est un roman sur la violence silencieuse. Au cœur d'une ville sans cesse en mouvement, multipliée, où l'on risque de se perdre sans aucun bruit.

Ma lecture:

Mathilde n'a pas pu lutter. Depuis cette fameuse réunion, le PDG dont elle était la plus proche collaboratrice, n'a fait que réduire son travail, son dynamisme, sa vitalité à néant. Jour après jour, semaine après semaine, il l'a insidieusement, méticuleusement, sournoisement écarter de son poste, de ses responsabilités. Maintenant il est trop tard pour lutter, le mal est fait, elle n'en a plus la force. Nous assistons, impuissants lecteurs, à cette chute inexorable, à cette horreur du harcèlement moral au sein de l'entreprise. 
Jusqu'à présent, j'avais lu des textes (Hirigoyen par exemple), j'avais vu des films mais pas encore un roman qui s'attaque vraiment au harcèlement moral au sein de l'entreprise. De ce point de vue, le livre est vraiment très intéressant.

Par contre, je suis moins convaincue par l'histoire parallèle, celle de Thibault qui parvient (enfin) à quitter sa compagne, qui a eu le courage de fuir cette relation insatisfaisante.


BONNE LECTURE!

lundi 26 septembre 2011

Gouttes de pluie



Les comptines, ce n'est pas trop mon truc...
Celles que je connais datent d'un certain temps.
Du temps de mes enfants, petits.


Quand l'automne et sa pluie sont là,
celle que je chantonne à mes petits élèves...

Goutte, goutte, goutte de pluie
Mon chapeau se mouille
Goutte, goutte, goutte de pluie
Mes souliers aussi!

D'ailleurs il vaut mieux que je ne chante pas trop...
Si vous voulez avoir beau temps cette semaine!



Les deux photos précédentes sont des crops (ou recadrages)....

Pour ZAZA et son lundi automnal.
Belle journée à vous!


vendredi 23 septembre 2011

Lire debout

Généralement, il est plus confortable de se mettre en position assise voire couchée....

Mais debout?



Vous arrive-t-il de lire debout?
(Et je ne parle pas des lectures quasi involontaires des affichages de rue!)

Dans le métro?
A l'arrêt d'un bus?
Mais encore....

 Pour le clic clac, chez Cricri.
L'instant T, chez Nikit@.

BONNE JOURNEE

jeudi 22 septembre 2011

L'école de la chair


YUKIO MISHIMA
L'école de la chair


Quatrième de couverture:

Dans le " bric-à-brac " de la société japonaise des années 60, les fantômes des ci-devant aristocrates hésitent encore à danser avec les premiers parvenus du miracle économique. Les rues sont pleines de jeunes filles qui n'en sont plus, de petits jeunes gens détestables dévorés de paresseuses ambitions...
Comment vivre, lorsque - comme le diamant de trois carats que l'on porte au doigt - on a été taillée dans une autre époque?
La chair, soudain révélée, pourrait-elle faire disparaître ce désert que l'héroïne du roman voit s'étendre aux confins de sa brillante réussite sociale? 
 Une quatrième de couverture qui ne rend pas hommage à ce texte!


Ma lecture:

Tokyo. Trois femmes, les Beautés Toshima, divorcées, fortunées, se retrouvent chaque mois, le 26, pour se raconter leurs aventures sentimentales. 

L'une d'elles, Taéko, s'éprend d'un jeune barman, Senkitchi, rencontré au Hyacinthe, un bar essentiellement fréquenté par des homos. Rapidement, elle le veut, oui elle le veut malgré (ou en raison de sa jeunesse, de ce regard, de ce torse, de cette sensualité qu'il dégage). Il s'installe chez elle tout en conservant une totale liberté personnelle. On appellerait cela l'amour libre, aujourd'hui... S'inquiétant d'une future et probable rupture, Taéko propose que chacun puisse bientôt se présenter mutuellement leur amant. Elle se met donc en quête de l'amant qu'elle n'a pas et de son côté Senkitchi demeure mystérieux... Jusqu'au jour où la fameuse rencontre à lieu.

Un roman écrit en 1964 dont je vous recommande la lecture.



Très belle journée à vous.

mercredi 21 septembre 2011

La couverture du cahier

Chaque début d'année, dans ma classe, je me demande ce que je vais bien pouvoir proposer à mes élèves de moyenne section pour l'illustration de la première de couverture du cahier.... 



Cette année, j'ai opté pour une couverture assez simple dans la réalisation et répondant à différents objectifs d'apprentissage: faire des lignes en graphisme, retrouver son prénom (car tous les élèves n'ont pas encore acquis cela), retrouver l'initiale de son prénom (ou du moins initier cette compétence).  Il me semble que c'est adapté à un début d'année de moyenne section de maternelle!

Allez hop, au travail!

Avec Jacqueline, nous avons sélectionné différentes teintes de pastels qui correspondent au groupe de couleur auquel appartient chaque enfant. Ils ont multiplié les lignes sur la feuille de dessin.



Quand cette première étape fut réalisée par chacun, il a fallu ensuite teinter avec de l'encre.



Après séchage, il faut passer à l'étape suivante: retrouver son prénom.



Puis ensuite, retrouver l'initiale de son prénom.



Immédiatement: collage du prénom et de l'initiale à la convenance de l'élève. On vérifie quand même que ce soit dans le bon sens!!!



En attendant que cette première de couverture soit mise sur le cahier, elle est affichée dans le couloir...



L'année scolaire a bien commencé!


POUR VOIR TOUT LE TRAVAIL DE LA CLASSE,
et d'autres idées de couverture:
CLIQUEZ ICI.



vendredi 16 septembre 2011

FACES par Maguy Marin

Actuellement à l'Opéra de Lyon, FACES, 
une chorégraphie par Maguy Marin. 
Une création mondiale.
Une création pour le ballet de l'Opéra de Lyon.

En résonance avec la Biennale de Lyon, 
jusqu'au 18 septembre 2011. 
Informations supplémentaires ICI.  
Et article de Claire Baudéan sur France Info ICI


Quelques images pour vous...
(depuis la répétition générale)












Je vous souhaite un bon spectacle!!!



jeudi 15 septembre 2011

Par un matin d'automne



Par un matin d'automne
ROBERT GODDARD

Quatrième de couverture:

Entre Un long dimanche de fiançailles et Les Âmes grises, un thriller passionnant dans la tourmente de la Première Guerre mondiale

Fin des années 1990. Leonora Galloway entreprend un voyage en France avec sa fille Penelope. Toutes deux ont décidé de se rendre à Thiepval, près d’Amiens, au mémorial franco-britannique des soldats décédés durant la bataille de la Somme. Le père de Leonora est tombé au combat durant la Première Guerre mondiale, mais la date de sa mort gravée sur les murs du mémorial, le 30 avril 1916, pose problème. Leonora est en effet née près d’un an plus tard. Ce qu’on pourrait prendre pour un banal adultère de temps de guerre cache en fait une étrange histoire, faite de secrets de famille sur lesquels plane l’ombre d’un meurtre jamais résolu et où chaque mystère en dissimule un autre. Le lecteur est alors transporté en 1914 dans une grande demeure anglaise où va se jouer un drame dont les répercussions marqueront trois générations.

Dans ce livre envoûtant à l’épaisseur romanesque exceptionnelle, Robert Goddard allie le cadre et l’atmosphère des plus grands romans anglais, ceux d’Elizabeth George ou de Ruth Rendell, à un sens du suspense et de la réalité historique remarquables. Nous sommes très heureux de faire redécouvrir cet auteur d’une œuvre longtemps souterraine, qui vient d’être redécouverte en Angleterre et aux États-Unis, où elle connaît un succès sans précédent.

Ma lecture:

Pour faire vite: Leonora revient, accompagnée de sa fille Penelope, sur la tombe de cet homme qui est son père mais dont la date de décès contredit les lois de la nature!!! Il serait mort avant que Leonora ait pu être conçue... Sa mère serait morte quelques jours après sa naissance. C'est l'occasion pour Leonora de raconter à sa fille tous les secrets et les mystères qui ont accompagné son enfance, secrets qu'elle n'a pu découvrir qu'adulte.

Dans l'ensemble, le livre, la construction de l'histoire, les retours dans le passé sont intéressants et tiennent relativement en haleine. Cependant, parfois, j'ai été tentée d’accélérer la lecture car l'auteur use et abuse de mystères, de secrets qui vont être révélés puis qui finalement ne le sont pas, pour maintes raison ( par exemple, un personnage entre dans la pièce quand un autre va faire des révélations à un troisième, un autre qui se ravise au dernier moment, etc...). Ce genre d'astuce peut être palpitant mais c'est agaçant quand c'est multiplié à l'infini. De même, j'ai parfois eu la sensation que l'auteur ajoutait des scènes qui n'apportaient rien à la narration, juste quelques pages de plus.

Hormis cela, l'intrigue est assez bien construite et, malgré ces quelques écueils, on peut persister pour le plaisir de la dernière partie du roman où, personnages après personnages, nous découvrons leurs motivations, leurs secrets et qui a tué ce Ralph Mompesson? 



Si c'était encore l'été, je dirais que c'est une lecture de plage!

mercredi 14 septembre 2011

Mon livre photo NEC PLUS ULTRA

Je termine ma trilogie photographique de mes livres photos CEWE en vous présentant celui qui m'a enchantée par la qualité de son papier... Car il est tiré sur papier PHOTO. Ce qui signifie que les pages sont épaisses (vraiment épaisses), résistantes et d'excellente qualité! Comme pour mes livres précédents, le rendu des couleurs me satisfait pleinement, comme les précédents aucun défaut n'est à déplorer, comme les précédentes fois, je suis ravie!


Petit rappel avant de faire un livre photo:


Première chose à faire: en amont, sélectionner ses photographies et les placer dans un fichier dédié à ce livre. Ainsi, au moment de faire le livre photo, toutes les images auront été choisies par avance. Il suffira de télécharger ce fichier.  Ce qui permet de ne pas perdre de temps.  
J'ai testé le livre photo CEWE. 


Deuxième chose à faire: Aller sur le site Service Photo Online et télécharger le logiciel de Création Photo. C'est avec ce logiciel que vous allez créer votre livre photo. 


Troisième étape: créer son livre photo. Personnellement, j'ai opté pour un livre photo CEWE A4 ( 28X21 cm) sur papier PHOTO et une couverture rigide.

 MON LIVRE

Comme pour mon livre précédent, j'ai choisi une photographie pour la 1ère et 4ème de couverture.
Ensuite, on peut naviguer dans le logiciel et choisir le fond de son choix, le nombre de photos par page, la taille des photos, l'encadrement, l'insertion de texte.
Il est possible d'introduire du texte sur la photographie comme ici sur la page de gauche.
Les photos que j'ai regroupées dans un fichier pour ce livre photo sont cochées dès qu'elles sont intégrées dans le livre.



Quand le livre est terminé, on le feuillette page par page et... il n'y a plus qu'à passer commande!



Voici le site qui vous propose de faire votre livres photos personnalisés ainsi que d'autres produits (posters, calendriers, textiles, articles de bureau...)



Grand merci à Chloé!!!!


Si vous souhaitez voir mes autres livres CEWE, c'est là et c'est ici!




BONNE JOURNEE!





mardi 13 septembre 2011

Orientez-moi

Votre mission est de vous rendre à une adresse inconnue...

Quelle est votre stratégie d'attaque?



Un site qui vous fait votre itinéraire?
Un plan toujours prêt dans votre voiture?
Une chose qui parle accrochée à votre pare-brise 
ou intégrée à votre tableau de bord?


Chacun sa route, chacun son chemin...

Mais comment tracez-vous votre route?

dimanche 11 septembre 2011

Zou

Le dimanche matin, généralement, les parents aiment bien traîner au lit... mais il n'en est pas de même pour les enfants! Voici un album qui est dans ma classe et que les enfants apprécient: ZOU de Michel Gay.

Je vous le fais découvrir en images...







Je propose cet album pour le Z chez Nikit@.


Je vous souhaite un bon dimanche!

BIZZZZZZZZZZZZZZZzzzzzzzzzzzz


vendredi 9 septembre 2011

Eric Nussbicker à l'abbaye de Montmajour

Pendant les rencontres Photographiques en Arles, je suis allée voir des expos à l'abbaye de Montmajour: un vrai bonheur de lier la visite du lieu et des œuvres présentées.

Tour Pons de l'Orme


Et quand on grimpe tout là-haut...





A l'intérieur de l'abbaye, 
une œuvre d'Erik NUSSBICKER

Le temps des mouches





Pour avoir plus d'informations sur l’œuvre,
c'est ici: CLIC !


Très bonne journée

jeudi 8 septembre 2011

Le chagrin


Lionel Duroy
LE CHAGRIN

Quatrième de couverture:

De l'Occupation jusqu'à nos jours en passant par la guerre d'Algérie et Mai 68, des avenues chics de Neuilly aux cités dortoirs de Rueil, Lionel Duroy retrace l'itinéraire chaotique d'un garçon pris au piège d'une odyssée familiale désastreuse. Un roman poignant qui fouille les mentalités françaises depuis la seconde moitié du XXe siècle.

Au départ, c'est un couple amoureux qui convole durant l'Occupation. le mari est issu de la noblesse désargentée ; d'une grande beauté, l'épouse aspire à une vie mondaine digne de sa récente particule. En catholique zélés, ils donnent naissance à onze enfants, tandis que toute la maisonnée mène aveuglément un train de vie de grands bourgeois. Prêt à se lancer dans les entreprises les plus hasardeuses pour satisfaire les exigences de sa bien-aimée, le père accumule en secret des dettes exorbitantes. La chute n'en est que plus rude. Expulsion des beaux quartiers, humiliation sociale... toute la tribu est relogée dans une cité lugubre où ne tiennent aucun des meubles fabriqués sur mesure pour le bel appartement de Neuilly. La paix du ménage se fissure, tout comme l'équilibre psychologique de la mère. Commence une longue série de galères - de magouilles paternelles en crises de nerfs maternelles. le narrateur, l'un des enfants, est le témoin épouvanté des calamités qui s'amoncellent au-dessus du foyer familial. Un chagrin qui pèsera sur ses épaules durant toute son existence. De 1940 à nos jours, la société française connaîtra elle aussi de grands bouleversements. Mais jamais cette famille ne sera du bon côté des événements politiques. Défenseur de Pétain sous l'Occupation, opposé de nouveau à de Gaulle lorsqu'il « abandonne » les Français d'Algérie, et pestant contre ces « gauchistes » qui, en 68, incendient Paris du haut de leurs barricades, le père est toujours à contre-courant des grands mouvements libérateurs. Etc...



Ma lecture:

Je n'ai pas lâché ce livre (cette autobiographie). L'auteur raconte son histoire, de l'enfance à aujourd'hui, sa famille et surtout ses parents, cette tribu de onze enfants (si on les compte tous), ses errances, son adolescence pendant laquelle il fut, un temps, déscolarisé, ses premiers boulots de "manard",  sa découverte de la littérature, son entrée dans le journalisme, ses voyages en Égypte, sa traversée de l'Amérique du Nord au Sud, en Algérie (suite au tremblement de terre ou pour enquêter sur les massacres de la décolonisation), en ex-Yougoslavie, etc...  Mais au travers de tous ces voyages, ce sont les images parentales que l'on retrouve.

J'ai été touchée par la sincérité de son écrit, il ne tait pas ses faiblesses, ses lâchetés, ses ambivalences, ses contradictions, ni les scénarios que chacun peut construire quand il est dans la dépression, dans la peur, dans l'urgence.

Il explique combien écrire fut, finalement, ce qui lui a permis de survivre à son enfance. Écrire ou mourir. Écrire un livre, quitte à être exclu de sa famille, renié, écrire pour témoigner de ce roman familial que ses frères et sœurs auraient aimé taire.


Je vous souhaite une excellente lecture!

mercredi 7 septembre 2011

JR et le photomaton

Arles 6 août 2011


Il est encore temps d'aller vous faire tirer le portrait dans la boîte à photo installée en Arles. Comme à Paris, un immense photomaton est à disposition. Vous repartez avec un poster à votre image. Vous en faites ce que bon vous semble. Certains emportent la photographie chez eux, d'autres l'affichent. 

Ici vous pouvez voir les portraits de la Photobooth Arles
Ici vous pouvez voir les portraits de la Photobooth Paris



Ces photomatons font partie du projet INSIDE OUT. Vous trouverez toutes les informations sur le site dédié au projet: ICI.



Si vous souhaitez en savoir un peu plus sur JR, son parcours, sa démarche, ses projets, ses images, ses expos de rue, je vous invite à visionner la conférence qu'il a tenue en Arles au mois de juillet 2011 à l'occasion des Rencontres Photos. C'est vraiment très intéressant. Il retrace tout son parcours depuis ses premiers tags jusqu'au projet actuel, Inside Out.




Le site JR
Le site INSIDE OUT


Et maintenant, à votre APN!

mardi 6 septembre 2011

Phil Poynter

C'est en parcourant le superbe blog 500 PHOTOGRAPHERS que j'ai découvert cette série de photographies de PHIL POYNTER qui  rend un très bel hommage au peintre YVES KLEIN.


Voici quelques unes des photographies:


Ponystep Monotone Symphony









Sur le site du photographe Phil Poynter, vous faites défiler les photographies et, à la fin, vous pouvez voir un petit film en noir, blanc et BLEU des femmes qui s'enduisent de peinture accompagnées par les musiciens. Je vous invite à le visionner:

           


Et pour la petite histoire, voici l'original...



12 mai 1962 : au Festival de Cannes, Klein assiste à la projection de Mondo Cane. Il sort très humilié du portrait fait de lui, qui dénature sa démarche et son œuvre. À son insu, la séquence devant durer 20 minutes a été réduite à environ 5 minutes, La Symphonie monoton-Silence débute comme prévu sur un accord en ré majeur, puis se poursuit très vite par la bande sonore d’une mélodie quelconque. Les modèles enduits de bleu sont filmés selon une gestuelle lascive plutôt ridicule, sans aucun rapport avec la séance d’Anthropométries mise en scène par Klein. Yves présente, le soir même, les signes avant-coureurs de sa première crise cardiaque. (Sources)



BELLE JOURNEE A VOUS

Venez découvrir d'autres photographes