vendredi 25 novembre 2011

Coucher de soleil

Vous vous souvenez du pêcheur la semaine dernière? Je vous disais que j'étais partie me balader avec quelques amis photographes. Nous avons attendu le coucher de soleil et nous avons bien fait car les lumières ont été divines. 

Voici quelques images de cette fin d'après-midi. 

17h28

On peut jouer à tourner la photo pour y voir tout autre chose...

17h26


En attendant un peu, un rameur se présente.

17h32

Quelques vagues se forment...

17h33


Une question se pose: Peut-on sacrifier les couleurs?



La nuit tombe si vite...
Profitons encore des couleurs du ciel.

17h35


Et si nous changions, et si nous laissions le format paysage et que ça devienne un portrait du soleil couchant?

17h36

Avec la nuit tombante, les bruits changent. D'autres sensations apparaissent.


17h40

Nous allons prendre le chemin du retour.


17h46
Pour le Clic Clac chez CricriS
Pour les petits bonheurs d'Euréka.
Pour les weekends Reflections

Je vous souhaite une douce journée.

jeudi 24 novembre 2011

N'oublie pas d'être heureuse



N'oublie pas d'être heureuse
CHRISTINE ORBAN


Quatrième de couverture:

Ma mère disait : "n'oublie pas ton chapeau" - mon père me disait : "N'oublie pas d'être heureuse". Comme s'ils pressentaient à quels dangers je pourrais m'exposer ...
Dans ce roman teinté d'humour et de mélancolie, Christine Orban touche à l'essentiel de toute vie.

Ma lecture:

Dans la première partie du roman, Maria-Lila vit à Fédala, au Maroc. Ses parents, son amie Sofia, sa marraine Fifi qui revient régulièrement de Paris l'entourent.  Maria-Lila vit à Fédala et vit simplement. On accompagne Maria-Lila dans cette vie, durant son adolescence et ses premiers amours. De ses retours réguliers de Paris, Fifi rapportent des cadeaux originaux, des vêtements que personne ne porterait ici, à Fédala. Toujours des vêtements de marque, de grande marque. La question du snobisme se pose de-ci de-là dans le roman. C'est étrange car cela dénote avec l'impression de vie modeste et presque désargentée de la famille.

Dans la seconde partie, Maria Lila a rejoint sa marraine Fifi à Paris. Elle est à la faculté de droit. Elle rencontre Edmond, richissime et d'une grande famille bourgeoise. Elle est habillée d'ensemble d'Yves Saint Laurent, elle mange des macarons Ladurée, etc....  La question du snobisme se pose... encore! Elle sera invitée à la fête de Noël dans la famille d'Edmond. La question des cadeaux se pose... Pfff mais quel ennui! Pour faire vite: Peut-on être heureux quand on est SNOB? Le roman se termine en queue de poisson, telle une entourloupe, Maria-Lila retourne au Maroc car son amie Sofia a été victime d'un accident de la route, le soir de Noël. Et voilà. Le roman est fini.

BREF, je n'ai pas apprécié cette lecture. Je n'ai pas senti d'empathie de l'auteur avec ses personnages. Je ne me suis jamais sentie touchée par l'héroïne ni par l'écriture. C'est une écriture à rallonge, on ajoute une phrase et une autre, une scène et une autre, des clichés et d'autres (de carte postale à Fédala, de classe sociale à Paris). 


Toutes mes lectures sont ICI.



BONNE JOURNEE ! ! !

mercredi 23 novembre 2011

Jeu d'ombres

Prenez un bâtiment.



Zoomez un peu et attendez le passant...
Et déclenchez au bon moment.




Pour l'instant T chez Nikit@

Belle journée!!!

mardi 22 novembre 2011

Julie de Waroquier

Actuellement et encore tout le mois de décembre, vous devez vous rendre à la galerie Photostage, à Lyon. L'expo "Phantasia" est pour vous. Plusieurs photographies magnifiques de Julie de Waroquier vous y attendent. Je veux partager ce beau moment avec vous car j'ai beaucoup aimé son travail, je me suis régalée. Julie de Waroquier a 23 ans, et ici, on peut dire que le talent n'attend pas le nombre des années!!!

Voici ce qu'on peut lire sur son site:

"Dans ma photographie, je recherche le rêve, le mystère, la surprise. J’essaie de faire en sorte que chaque image soit comme échappée de l’imagination, qu’elle dérange les catégories du monde concret. Ce que je veux, c’est pousser dans ses retranchements la photographie, qui est primitivement une technique de duplication, pour faire de la photographie un complet art de création. Ainsi j’essaie de sonder l’inconscient dans ce qu’il a de plus poétique : chaque photographie est à voir comme la capture d’un rêve qui serait devenu réalité, et que l’appareil serait venu saisir."


Quelques images:











 Le site de la galerie PHOTOSTAGE.

Le site de JULIE DE WAROQUIER.


Bonne visite!


Venez découvrir d'autres photographes


vendredi 18 novembre 2011

jeudi 17 novembre 2011

Le Tibet sans peine



Le Tibet sans peine
PIERRE JOURDE

Quatrième de couverture:

A trois reprises, Pierre Jourde est allé parcourir les pistes du Zanskar, vallée désertique de l'Himalaya, à quatre mille mètres d'altitude. Le Tibet sans peine raconte ces longs périples (l'auteur avait vingt-cinq ans la première fois) sous forme d'une épopée cocasse, décrivant les tourments, les émerveillements et les ridicules de jeunes banlieusards occidentaux livrés à une nature démesurée. Traverser des glaciers avec un équipement de promeneur estival nécessite autant d'inconscience que de ténacité.
A la description des paysages sublimes et de l'hospitalité généreuse des Tibétains répond celle du progressif délabrement du voyageur et de ses compagnons dans la dureté de l'épreuve. Un régal de lecture, une introduction espiègle à ces pays qui comportent "plus de montées que de descentes, contrairement par exemple à l'île de Ré." 

Ma lecture:

Un livre qui vous entraîne loin. Loin de nos contrées occidentales, loin de nos villes, loin de nos voyages formatés, un livre qui nous emmène au Tibet. Un livre plein d'humour et d'auto-dérision que j'ai eu grand plaisir à lire. Un livre court à l'écriture soignée. Un livre qui se lit tant pour la narration du voyage que pour le style de l'auteur. Bref, si vous avez envie de passer un moment agréable, venez voyager au travers des lignes de ce livre.


Quelques citations:

Rencontre avec un vieux routard resté en Inde:

P43: "Il est venu faire la manche devant ce restaurant populaire, cahute ouverte sur la rue, où nous nous gavions de riz aux légumes. Lui, pieds nus dans la poussière. Maigre comme on ne peut pas l'être, comme parviennent tout de même à l'être, en Inde, les plus pauvres des pauvres. Des lambeaux de pantalon et de gilet accrochés à ses os. On pouvait compter ses côtes, bien visibles sous la peau brune et plissée. Plus de dents. De longs cheveux pendant sur sa face creuse, celle du spectre des années hippies. Le spectre était français, et devait depuis longtemps avoir vendu son passeport, ses papiers. Il a ramassé nos roupies, la foule l'a repris."

Les photos de voyage:

P67: "Ces centaines de photos, je me les suis fait voler...... Je ne crois pas que j'aurais jamais effectué un troisième voyage si les images des deux premiers n'avaient pas disparu. En fait, le Zanskar, je l'avais assez vu...... Le voyage le plus étonnant de ma vie, je ne l'ai pas fait pour l'exploit, ni par curiosité culturelle, ni pour aucun motif qui présente un peu de sens. Je l'ai fait pour reprendre des photos.
Tout pour la photo. Le monde est fait pour aboutir à un beau diaporama. J'y étais, je l'ai vu. Encore aujourd'hui, j'ai du mal à me l'avouer. Je me sens comme l'incarnation parfaite du touriste. La réalité profonde du pays, la vie des gens, pénétrer une civilisation, vivre au rythme de, rien à foutre. Des images...."


Toutes mes lectures sont ICI.
BONNE LECTURE!

mercredi 16 novembre 2011

Sculptures de fruits (suite)

Voilà. Nous avons terminé le travail autour des fruits. Après avoir fait nos sculptures de fruits à l'occasion de la semaine du goût, après les avoir prises en photo, il nous restait plus qu'à les mettre en valeur. 




Les photographies sont installées sur la table. Pendant qu'un groupe est à ce travail, les autres sont installés sur diverses activités. 


Chaque enfant choisit une feuille Canson de couleur. Avec du scotch double face, je fixe la photo au centre.


Chaque enfant colle des gommettes autour de la photo. Un algorithme doit être respecté. Quand il a fait le tour de la photographie, il écrit son prénom à l'arrière. Jacqueline, ensuite, plastifie le travail. Il ne reste plus qu'à afficher tout ça dans le couloir.




Gourmandises pour les yeux!

Participation aux mercredis gourmands chez Anne-Laure T.

Pour voir tout le travail de la classe: Cliquez ICI


BONNE JOURNEE!

mardi 15 novembre 2011

Le pêcheur

Cela fera bientôt six mois que j'ai mon appareil photo Reflex (Nikon D7000) et j'en suis très heureuse. Je ne pourrais plus m'en séparer, il est devenu un objet essentiel à ma vie. J'ai également rejoint deux groupes de photographes, l'un à Lyon, l'autre dans mon patelin. C'est un vrai bonheur de faire des sorties ensemble sous le signe de la bonne humeur et du plaisir de photographier. Auprès des autres, grâce à leur regard et leurs conseils, grâce au nombre croissant de photos faites, j'espère bien progresser. Modestement mais sûrement. Les progrès sont lents, menus mais j'ai le temps!

Voici trois photographies faites samedi à l'occasion d'une de ces sorties. C'est vraiment difficile de choisir l'une d'entre elles. Aidez-moi. 




Pour l'instant T, chez Nikit@

Je vous montrerai d'autres photos de cette sortie photo ultérieurement. J'étais, entre autres participants, avec Pastelle. Allez voir son blog Lumières de l'ombre.


Je vous souhaite une belle journée.


lundi 14 novembre 2011

Le château

Cet été, j'ai passé deux jours dans ce délicieux château, invitée par des amis. Pas très loin de chez moi. Oui, oui, il y a des châteaux habités au quotidien... 


Je suis d'accord pour y retourner l'été prochain!!!
A bon entendeur...

(J'en profite pour embrasser les amis en question...)



Pour Zaza qui voulait une maison près de chez soi...


BONNE JOURNEE!

samedi 12 novembre 2011

Tarte au chocolat

Un des plaisirs de travailler en maternelle... 
Les anniversaires! 

Certaines instits organisent des anniversaires groupés. Une fois par mois, c'est CUISINE et, avec les enfants, elles font des gâteaux. D'autres, comme moi, laissent l'initiative aux parents qui, s'ils le souhaitent, apportent à l'école un goûter pour la classe. 
Ce jour-là, Inès a apporté une énorme tarte au chocolat (puis aussi deux marbrés!!!!)



Et cette tarte au chocolat est délicieuse. A l'école, on l'aime terriblement! D'ailleurs, il arrive fréquemment, à n'importe quelle occasion, que l'une d'entre nous se dévoue pour acheter LA tarte au chocolat de la boulangerie (proche de l'école). On la préfère à la tarte aux pralines ou celle au sucre. 

Pour Chocoladdict

Bon weekend aux gourmands!

jeudi 10 novembre 2011

Remède mortel


HARLAN COBEN
Remède Mortel

Quatrième de couverture:


Après Sans un adieu, un nouveau collector publié en 1991 aux États-Unis, signé par un jeune Harlan Coben diabolique à souhait.

Une clinique new-yorkaise hautement sécurisée.
Un médecin qui se suicide.
Des patients sauvagement assassinés.
Coïncidences ? Complot ?
Et si l’annonce prochaine d’une extraordinaire découverte médicale avait déclenché cette vague meurtrière? Sara Lowell, jeune journaliste très en vue, mène l’enquête. Mais ses révélations pourraient bien faire d’elle la prochaine victime d’un mystérieux serial killer…

Guerre des lobbies pharmaceutiques, machination politique, pression des médias, mensonges… Au cœur d’un débat toujours aussi brûlant, un thriller angoissant et terriblement réaliste par celui qui allait devenir le maître de vos nuits blanches. 

Ma lecture:

Je n'avais jamais lu cet auteur et je ne suis pas déçue. Je ne résumerai pas le roman, la 4ème de couverture suffit. C'est un roman qui tient en haleine car chaque chapitre offre un rebondissement (mais peut-être est-ce la règle du genre n'est-ce pas?) même si parfois cela tend à l'accumulation! Ce n'est pas désagréable de se laisser mener par l'auteur. Une lecture divertissante!!!

Livre qui m'a été envoyé par Zaza et qui va s'envoler vers Val... 

Bonne lecture!


mercredi 9 novembre 2011

Usine des eaux de Caluire

Pendant mes vacances, j'ai eu la possibilité de visiter une ancienne usine à eau, ce fut également l'occasion de faire quelques révisions historiques. 



Il y a plus de 2000 ans, les Romains s'installaient sur la colline de Fourvière. Lugdunum (le Lyon d'autrefois) avait besoin d'eau et les Romains construisirent plusieurs aqueducs afin d'approvisionner la ville. Mais quelques centaines d'années plus tard, toute cette infrastructure fut détruite, laissée à l'abandon et, au Moyen-Âge, la situation devint critique. Ce n'est qu'au milieu du XIXè siècle que la Compagnie Générale des Eaux entreprend la construction d'une USINE à EAU afin d'alimenter la ville. Deux bassins filtrants sont conçus: ils servent à capter l'eau dans les alluvions du Rhône. Par ailleurs, trois énormes pompes permettent d'aspirer cette eau et la propulsent dans un réseau qui alimente les fontaines de la ville. 

J'ai fait quelques photos à l'occasion de cette visite.



Bassin filtrant


Et pour ne pas oublier que l'eau est précieuse...

Sur le chemin de la visite

Si vous souhaitez plus d'infos: Cliquez ICI.

POUR VOIR TOUTES MES PHOTOS LYONNAISES,



lundi 7 novembre 2011

vendredi 4 novembre 2011

Zombie day 5 (côté hommes)

Mesdames, aujourd'hui, un grand choix de zombies masculins vous est proposé!!!  Miammmmmmmm..... 




J'avais commencé la semaine en vous présentant les femmes du défilé, voici les hommes. Régalez-vous!










Il s'agit de la Zombie Day 5 lyonnaise. 
 En cliquant ICI, vous verrez les maquillages féminins. 

Un homme sur mon blog pour Virginie B et un Clic Clac pour Cricri


Bonne journée!!!