lundi 29 juin 2015

Fête des pères en maternelle

Cette année, pour la fête des pères, mes élèves ont fait l'encadrement de leur portrait. 





J'ai découpé des carrés de papier de couleur. Les élèves les ont collés sur du papier Canson noir.



J'ai préparé quelques modèles de décors à faire autour de leur photo.
A choisir selon l'envie ou les compétences.

 

Écrire PAPA




Coller le portrait sur le Canson noir.




Et pour terminer, plastifier:





Bonne semaine à vous!


samedi 27 juin 2015

Diane Arbus

Quatrième de couverture:

A Londres, en janvier 2006, l'exposition consacrée à la photographe Diane Arbus s'achève en triomphe. La presse entière acclame ce travail longtemps jugé dérangeant, voire " pervers ", comme le disait Susan Sontag. Les collectionneurs s'arrachent les tirages à prix d'or. Quelqu'un manquerait-il à la fête ? Diane Arbus n'est plus là. En juillet 1971, à l'âge de 48 ans, un jour de moite chaleur new-yorkaise, un ami la trouve les veines tranchées dans sa baignoire. Diane Arbus, née Nemerov sur Central Park West, petite fille gâtée de la grande bourgeoisie juive américaine, puis mère de famille se levant à 5 heures du matin pour courir les cirques ou les asiles psychiatriques, est une exploratrice du Barnum américain. Passée par la photographie de mode, travaillant pour Condé Nast, Harper's Bazaar ou Vanity Fair, elle s'émancipe vite, se brûle au contact des damnés de la ville. C'est l'une des premières, sinon la seule avec Lisette Model, à saisir les ombres errantes de Manhattan : elle flashe au vif avaleurs de sabre, femmes à peau de serpent, nudistes militants, aliénés hilares, géants, jumelles sibyllines au regard de glace, photographiés dans des hôtels miteux ou des recoins hors la loi de Central Park. " Je suis née tout en haut de l'échelle et, toute ma vie, j'en ai dégringolé aussi vite que j'ai pu ", disait-elle. Dans cette biographie riche d'éléments inédits, portrait de femme fragile, Violaine Binet revisite l'une des grandes artistes de la photographie du vingtième siècle. Violaine Binet a été rédactrice en chef adjointe à Vogue pendant treize ans. Diane Arbus est son premier livre.

Ma lecture: 

Je n'avais jamais lu de biographie de cette photographe et je ne connaissais pas grand chose sur elle (si ce n'est ses photos).  J'ai apprécié d'en apprendre un peu plus. Par contre, j'ai trouvé le livre un peu trop superficiel et lacunaire, j'aurais aimé aller plus loin. Ce livre est un tremplin pour aller vers d'autres lectures...
Une très bonne critique de ce livre ICI


Une lecture pour Virginie B

 

jeudi 25 juin 2015

Photographies italiennes

Encore quelques personnes photographiées dans les rues italiennes!


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Bonne fin de semaine!

lundi 22 juin 2015

Les passants toscans

Parfois on choisit un cadre, un fond, un espace et on attend le passant...
L'idéal serait d'être "sur pied" afin de conserver un cadre strictement identique.
Là j'ai bougé.
Bien sûr! 

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Bonne semaine à vous!

samedi 20 juin 2015

Utu

Quatrième de couverture:


D'origine maorie, Jack Fitzgerald s'était engagé dans la police suite aux disparitions inexpliquées de son épouse et de sa fille sur une île de Nouvelle-Zélande. L'annonce de son suicide, après la mort d'un chaman indigène aux pratiques occultes effroyables, ne convainc pas son ancien bras droit. Osborne, spécialiste de la question maorie, revient sur les traces de son ami et par la même occasion sur son propre passé. Hana, celle qu'il appelle " ma femme " et qu'il connaît depuis l'enfance, croise de nouveau sa route. Les disparitions continuent. Une réalité glaçante se dessine. Au pays du utu, la vengeance comme les gènes, se transmet dans le sang...

Ma lecture: 


Utu, c'est l'histoire d'une vengeance dont je ne dévoilerai rien. J'avais lu "Haka" il y a quelque mois et je savais qu'il y avait une suite. Haka, c'est l'histoire de Jack Fitzgerald, un policier en Nouvelle Zélande et Utu celle de Paul Osborne,  son co-équipier particulièrement accro à diverses drogues. 
Il ne faut pas craindre les romans policiers avec violences, drogues et bas-fonds. Il ne faut pas craindre quelques descriptions plutôt trash et s'attacher à un personnage dont on sait forcément  que l'auteur a prévu sa disparition. Cette lecture n'est pas de tout repos car la violence est à chaque chapitre mais l'auteur sait y faire pour maintenir la curiosité du lecteur!



Une lecture pour Virginie B

mercredi 17 juin 2015

Les parents en classe //5

Cette maman était déjà venue au mois de novembre (je vous en avais parlé ICI). Nous avons renouvelé l'expérience... et ce fut de nouveau une belle matinée avec la classe!


Voici comment tout cela s'est passé...

La maman avait déjà préparé les supports avec le plâtre, en classe nous avons peint à la peinture blanche acrylique. 



Le jour convenu, tout est prêt!


Munissez l'élève d'un pinceau, 
faites-lui choisir une couleur,
versez directement la peinture sur le plâtre.
L'élève étale au pinceau.
Puis, on verse la peinture blanche.

(vous avez préalablement montré l'étape peinture à tout le groupe)



Comme le pinceau est coloré, la teinte se mélange avec le blanc.


Il faut passer le pinceau horizontalement et lisser la peinture!



PUIS SORTEZ EN RECREATION!!!

Pendant ce temps, la maman artiste fait quelques vérifs, et ça sèche sous le ventilo!


Nous voilà de retour.
Les pastels sont sortis.
Les enfants coordonnent avec la couleur sur le plâtre et mettent du blanc dans le "ciel".
Les petits doigts étalent.



COLLAGE d'extraits d'illustrations de 
VINCENT GIBEAUX (peintre illustrateur).

La maman a préalablement découpé des reproductions de ce peintre.

Avec du vernis colle.





BRAVO!








MERCI à l'atelier AUDEL'ART


lundi 15 juin 2015

Une poignée de jetons

J'utilise souvent les jetons dans ma classe. C'est très pratique! 
Voilà une activité que j'ai faite plusieurs fois avec mes "moyens", 
on est en fin d'année et ils comptent "loin"!




LA PREMIÈRE SÉANCE

Un groupe est assis à une table. A chacun je donne une petite poignée de jetons à compter. Certains comptent immédiatement sans "ranger" d'autres rangent les jetons en lignes. A chacun on demande combien il a de jetons? On observe que certains comptent deux fois le même jeton, ou en omettent, etc... A ce moment-là, on le fait remarquer à l'élève: celui-là, tu l'as déjà compté!

A la fin, on explique que c'est bien pratique de ranger pour compter. Cela aide à compter (car certains ont tendance à compter deux fois un même jeton, ou bien à en oublier, etc..). 
Ils adoptent immédiatement le rangement car ils constatent que c'est plus facilitant. 




DEUXIÈME SÉANCE

Au coin regroupement. Seuls 4 élèves font. Les autres regardent. C'est très formateur de regarder les autres faire pour apprendre!





SÉANCE (S)  SUIVANTE(S)

Une poignée de jetons à compter (plus ou moins grosse selon l'élève). On n'hésite pas à en mettre un grand nombre tant que l'élève est à l'aise!
Plusieurs difficultés ont évidemment apparu:
- ceux qui ne parviennent pas à compter au-delà du seuil fatidique du 15 par exemple (ahhhh le français est compliqué pour apprendre la suite numérique!) ou un autre seuil propre à tel ou tel élève;
- ceux qui se perdent dans le rangement des jetons;
- ceux qui oublient le nombre trouvé (ben oui, il y a un temps d'attente entre le moment où l'élève a compté et le moment où il me dit le nombre de jetons);
- etc...

Petit truc pas mal: leur apprendre à ranger par ligne de 5. Je leur explique que c'est très pratique pour moi, pour vérifier le nombre annoncé.



Bonne semaine à vous!



samedi 13 juin 2015

Les trois médecins

Quatrième de couverture:

 Un médecin, ça n'a pas toujours été médecin.
En 1974 – vingt ans avant La Maladie de Sachs - Bruno Sachs entre à la faculté de médecine de Tourmens. Il se lie d’amitié avec André Solal, Basile Bloom et Christophe Gray, trois étudiants voués à la médecine générale. Il ne sait pas qu’au cours des sept années suivantes, ils vont apprendre leur métier mais aussi côtoyer les militants de l’IVG et de la contraception, contester l’enseignement de mandarins hospitaliers plus préoccupés de pouvoir que de soin, et militer pour une médecine plus humaine.
Pour devenir médecins – pour devenir des hommes –, Bruno et ses trois camarades devront vivre plusieurs histoires à la fois : l’histoire d’une formation ; l’histoire d’un grand amour ; l’histoire d’un engagement moral et politique ; l’histoire d’une profonde amitié. Des histoires comiques et tragiques. Des histoires où l’on vit pleinement et où, parfois, l’on meurt.
Comme dans un roman d’aventures.

Ma lecture:

C'est le quatrième roman de Martin Winckler que je lis et j'ai toujours autant de plaisir à retrouver cet auteur cependant il ne sera pas dans mes favoris! J'ai eu le sentiment d'être très éparpillée parmi la multitude des personnages. J'ai préféré par exemple Le Choeur des femmes lu récemment. Avec "Les trois médecins", il est vrai que j'ai eu un peu de mal sur les 100 dernières pages (est-ce parce que j'ai lu ce roman de façon un peu trop hachée?).

Donc si l'évolution de la médecine et son enseignement vous intéressent, je vous le recommande. Mais si vous ne connaissez pas cet auteur, commencez par un autre titre! Le Choeur des femmes par exemple ou La maladie de Sachs.

Une lecture pour Virginie B


lundi 8 juin 2015

Mercato centrale Firenze

Un marché couvert très agréable à visiter à Florence!

Et faire la touriste avec son appareil.

J'aime bien.


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Hummm le "carciofo"!
Avec les pâtes, un régal...

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Bonne semaine à vous!

jeudi 4 juin 2015

Paysages de Toscane IV

Toujours en Noir et Blanc et toujours la Toscane.

C'est le deuxième voyage que je fais avec l'association IMAGE CONTACT (CLIQUEZ SUR L'ONGLET VOYAGE) Il y a deux ans, nous étions partis en Galice, région espagnole qui offrait une variété intéressante quant aux lieux à photographier. J'ai eu la sensation de moins de diversité en Toscane,  je me suis sentie moins dépaysée. Je ne sais pas si cela est liée mais je suis revenue avec moins de photos!

Je sais que pour beaucoup la Toscane ne se voit qu'en couleur alors que d'autres apprécient les explorations monochromes (voir les commentaires ICI). Personnellement, je suis partie en voyage sans aucune "image" mentale de la Toscane car je n'étais jamais allée en Italie et la photographie de paysage n'est pas celle que je recherche particulièrement. Donc, j'étais en quelque sorte "libre" de toute "éducation visuelle" concernant cette région. Ce qui me permet de ne pas m'interdire le N&B. D'ailleurs, je n'ai pas terminé de vous les proposer...

Vous vous souvenez de la petite chapelle précédemment présentée en couleur ICI?
La voici en différentes versions.
A vous de me dire si vous préférez la 1, 2 ou 3. 


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Au même endroit, en marchant un peu, en descendant un chemin, en évitant la proximité du chien, on s'approche du petit arbre que vous voyez, minuscule, dans la 3ème photo: 


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La prochaine fois, je continuerai avec des personnes photographiées dans les rues des villes visitées.

A bientôt!