COUVRE-FEU
Que voulez-vous la porte était gardée
Que voulez-vous nous étions enfermés
Que voulez-vous la rue était barrée
Que voulez-vous la ville était matée
Que voulez-vous elle était affamée
Que voulez-vous nous étions désarmés
Que voulez-vous la nuit était tombée
Que voulez-vous nous nous sommes aimés.
PAUL ELUARD
(1895-1952)
Ceci est ma participation aux dimanches poétiques.
Retrouvez toutes les propositions chez:
Que voulez-vous la porte était gardée
Que voulez-vous nous étions enfermés
Que voulez-vous la rue était barrée
Que voulez-vous la ville était matée
Que voulez-vous elle était affamée
Que voulez-vous nous étions désarmés
Que voulez-vous la nuit était tombée
Que voulez-vous nous nous sommes aimés.
PAUL ELUARD
(1895-1952)
Ceci est ma participation aux dimanches poétiques.
Retrouvez toutes les propositions chez:
Merci de la decouverte je ne connaisais pas ce poeme ;O)
RépondreSupprimerbon dimanche
Très efficace poème et facile à retenir en plus!
RépondreSupprimerJ'ai adorée ce petit poème suivi de ton image! c'est une très belle participation ça!
RépondreSupprimeret c'est une belle participation,je trouve !
RépondreSupprimer:)))))))
Il fait partie de mes poèmes préférés !
RépondreSupprimerMerci pour l'avoir mis à l'honneur.
Jolieeeeee !!! J'aime beaucoup !
RépondreSupprimerNous avons les mêmes références poétiques Prevert, Eluard ! C'est toujours étonnant de découvrir sur ton blog des poèmes que j'ai, tant de fois, admiré en secret.
RépondreSupprimerJ'aime vraiment beaucoup ce poème que je ne connaissais pas. Merci.
RépondreSupprimerC'est drôle, je l'ai lu samedi à la bibliothèque !
RépondreSupprimerJ'adore !
J'adore Paul Eluard, que dire de plus? Biz biz
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